Le lieutenant Abdul Ruzibiza est un témoin de l’intérieur. Engagé dans trois procédures judiciaires contre les responsables de l’Armée patriotique rwandaise (APR) pour les crimes commis au Rwanda entre 1990 et 2001, l’officier a décidé de révéler le fonctionnement d’une armée rebelle qui a perdu de son romantisme en s’emparant du pouvoir. Depuis son exil de Norvège, l’auteur de «Rwanda, l’histoire secrète», publiée aux éditions Panama. Il affirme avoir appartenu au Network, un réseau de renseignements monté au sein de l’APR, qu’il aurait rejoint début 1990. Aujourd’hui, il pointe particulièrement les crimes commis par ceux dont il a servi la cause et qui sont désormais au pouvoir.

Enquêtes truquées sur le génocide rwandais
LE FAX DE DALLAIRE SUR LA PLANIFICATION DU GENOCIDE EST UN FAUX !
Depuis dix ans, des pressions énormes s’exercent tant en Afrique qu’en Europe pour manipuler l’opinion et imposer le mensonge sur les événements du Rwanda. Ayant obtenu des documents inédits, du Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR), du gouvernement belge, du gouvernement Clinton, de l’ONU et de la CIA, Charles Onana démontre que le TPIR n’a pas de preuve sur « la planification du génocide » et que le fax de Dallaire évoquant la mort de « 1000 Tutsi en 20 minutes » est un faux ! Pour valider la thèse d’un « génocide planifié » par les Hutu, le TPIR achète des témoins, torture les accusés, menace les avocats, embauche de pseudo experts et utilise de faux documents. Le premier Hutu condamné à perpétuité a été jugé sur la base de faux témoignages !
Des lettres confidentielles montrent que le régime de Kagame a détourné près de 2 millions de dollars destinés aux familles des victimes de l’attentat terroriste du 6 avril 1994 qui a déclenché les massacres. Une enquête bouleversante sur la face cachée de la justice internationale et sur le vrai pouvoir des criminels contre l’humanité.

Le scandale du génocide rwandais
Groupe d'experts internationaux, sous la direction de Charles ONANA

Dix ans après le génocide rwandais, le tribunal pénal international n’a toujours pas ouvert d’enquête sur l’attentat du 6 avril 1994. Cet acte de terrorisme qui est pourtant reconnu par les Nations Unies comme l’événement déclencheur du génocide a été dès le début écarté par le procureur du tribunal pénal international, Louise Arbour. Même la commission d’enquête sénatoriale belge s’est trouvée gênée d’ouvrir une enquête sur cette affaire alors que la Belgique a perdu dix casques bleus le lendemain de cet attentat. La France n’a pas non plus demandé une enquête internationale sur le même attentat alors que l’avion abattu était d’origine française et que l’équipage de l’avion était lui aussi français. Pour la première fois, des fonctionnaires de l’ONU, des experts, des avocats et des journalistes rompent la loi du silence pour expliquer pourquoi ce dossier est devenu encombrant.

Enquête sur les mystères d'un président.
Qui a abattu l'avion du président rwandais et précipité le génocide de 1994 dans lequel des Belges et des Français ont trouvé la mort ? Que faisait l'ONU pendant cette période alors qu'elle était chargée de protéger l'aéroport mais aussi la capitale rwandaise ? Quelle a été la responsabilité des Rwandais eux-mêmes dans l'attentat et les massacres qui ont suivi le crash de l'appareil ? Après trois années d'investigation sur ce dossier brûlant, le journaliste Charles Onana lève le voile sur le silence que le président Paul Kagame fait peser sur l'attentat contre le Falcon 50 qui a déclenché le génocide. Il révèle aussi pourquoi ce dernier s'oppose à l'idée d'une enquête internationale sur cette affaire. .

Paris , L'Harmattan 2003

Enquête sur les réseaux rwandais et occidentaux
Depuis la chute du président Mobutu en 1997, le Zaïre, plutôt l'Afrique Centrale, vit un cycle infernal de guerres, de pillages et de trafics en tous genres. Pourquoi ces conflits et ce chaos indescriptibles ? Pourquoi plusieurs rapports de l'ONU sur le pillage des ressources minières en République Démocratique du Congo (RDC) restent sans effet? Dans ce document exceptionnel, Honoré Ngbanda, ex-ministre de la Défense et ancien conseiller spécial du maréchal Mobutu, lève le voile sur les réseaux occultes, les multinationales et les chefs d'Etat, qui se livrent à la prédation minière, au financement de l'instabilité et de la pauvreté en Afrique Centrale. De la nébuleuse rwandaise à la compagnie minière American Mineral Fields Inc, basée en Arkansas, fief de Bill Clinton, en passant par la Gécamines, dirigée par le représentant personnel de Robert Mubage, Honoré Ngbanda dénonce un complot international qui trouve son origine dans le génocide du Rwanda et le programme américain de l'Africa New Opportunities Act signé en 1995 par Bill Clinton.

Les larmes de l’honneur : 60 jours dans la tourmente du Rwanda

Le 6 Avril 1994, l’attentat perpétré par la rébellion Tutsi contre le Président Hutu Habyarimana plonge le Rwanda dans le chaos. Se déroule alors le plus atroce génocide de la fin du XXe siècle. Le 22 juin, l’ONU autorise du bout des lèvres la France à intervenir pour faire cesser les massacres. Jacques Hogard est désigné pour prendre le commandement d’un des trois groupements opérationnels de l’opération Turquoise. Homme dévoué à son pays, il raconte comment il a exécuté avec fermeté, humanisme et diplomatie, cette difficile mission. Par son témoignage, Jacques Hogard rétablit la vérité sur cette terrible période de génocide, de rébellion, de pillages, d’exode… Il livre ici la complexité de cette opération à la fois militaire, humanitaire, diplomatique, politique et médiatique.

 

Révélations sur les dérives d'un général de l'ONU au Rwanda
Onze ans après le génocide du Rwanda, Jacques-Roger Booh Booh, le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU, livre son témoignage sur sa mission et sur le général Dallaire.Chef de la MINUAR pendant le génocide, M. Booh Booh révèle que le général Dallaire a organisé le sabotage de l’action diplomatique en plaçant clandestinement des micros dans son bureau pour écouter toutes les conversations officielles et confidentielles de son patron. Il a fermé les yeux sur les convois d’armes à destination du Front Patriotique Rwandais alors qu’il contrôlait plus largement ceux du régime Habyarimana. Il a pris parti pour les rebelles tutsi en acceptant de vivre avec une compagne rwandaise sous toit. Ce comportement frivole a sali la réputation de la MINUAR et discrédité le travail des casques bleus. Le représentant spécial de l’ONU affirme que Dallaire ne lui a remis aucun rapport sur l’attentat du 6 avril 1994 qui a déclenché le génocide ni sur l’assassinat des casques bleus belges. M. Booh Booh va plus loin en révélant que Dallaire a carrément invité les rebelles du FPR dans les bureaux de l’état-major de la MINUAR à Kigali pour leur donner des informations sur les positions de l’armée régulière Rwandaise. Le représentant spécial de l’ONU affirme que l’opération turquoise organisée par l’armée française a sauvé de nombreuses vies humaines. Sans l’intervention de l’armée française, il y aurait eu plus de morts au Rwanda en 1994.

RWANDA, Le faîte du mensonge et de l'injustice

Le mensonge constitue le socle de la pensée unique qui régente la question rwandaise dans toutes ses dimensions. Sans état d'âme, l'auteur de ce livre analyse les actions et les erreurs de gestion politique du régime dont il faisait partie. Il refuse néanmoins de lui attribuer la responsabilité première de l'hécatombe rwandaise. Le bellicisme du Président ougandais Yoweri Museveni qui a appuyé et armé l'invasion du Rwanda, l'absence d'idéal national chez les leaders de l'ancienne opposition politique, l'appât démesuré des richesses naturelles de la République Démocratique du Congo ainsi que l'instrumentalisation politicienne du mandat du Tribunal Pénal International pour le Rwanda sont autant des causes de l'embrasement du Rwanda et de la région des Grands Lacs.

L'auteur: Edouard Karemera, en procès devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), vient de publier en France un livre dans lequel il réclame des poursuites judiciaires contre l’actuel président rwandais, Paul Kagame et le chef de la force de l’ONU pendant le génocide, le général canadien Roméo Dallaire. Publié aux Editions Sources du Nil (Lille, France),  le livre accuse l’actuel chef de l’Etat rwandais d’avoir ordonné, le 6 avril 1994, avec la complicité de Dallaire, l’assassinat du président Juvénal Habyarimana. Comme planifié de commun accord avec Roméo Dallaire, Paul Kagame a donné l’ordre d’abattre l’avion du président Habyarimana en sachant qu’il déclencherait un cataclysme qu’aucune force ni personne n’allait contrôler ni arrêter, écrit Karemera dans la conclusion de son livre. "Dans son plan de couvrir la préparation du coup de force, Dallaire a usé de tous les subterfuges. Il a délibérément mal informé, pour ne pas dire qu’il a tout simplement menti à ses patrons de New York, sur l’évolution de la situation au Rwanda"
"Dallaire savait tout. S’il n’est pas co-auteur dans cette entreprise criminelle, il est complice et devrait en répondre".

RWANDA,

L'attentat du 6 avril 1994 qui coûta la vie aux présidents du Rwanda et du Burundi, tous deux hutu, fut le détonateur du génocide du Rwanda. En 2000, à peine nommée procureur du TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda, créé par le Conseil de sécurité de l'ONU), Mme Carla Del Ponte a déclaré: "S'il s'avèrait que c'est le FPR (mouvement tutsi dirigé par le général Kagame) qui a abattu l'avion du président Habyarimana, l'histoire du génocide du Rwanda devrait être réécrite." Elle a été désavouée par l'ONU.
 En 2006, après avoir identifié et interrogé plusieurs membres du commando ayant préparé l'attentat, le juge Jean-Louis Bruguière a accusé le président tutsi Kagame d'en être l'instigateur, puis il a délivré des mandats d'arrêt internationaux contre ses plus proches collaborateurs. L'histoire du génocide du Rwanda prenait dès lors une toute nouvelle perspective.
 Résultat d'une minutieuse contre-enquête reposant sur les immenses fonds d'archives du TPIR et nombre d'autres sources inédites, cet ouvrage réduit à néant tout ce que l'on croyait savoir au sujet de ce génocide.
 L'auteur met en évidence l'insolite complaisance du TPIR envers le régime du président Kagame. Il dénonce le parti pris et les faiblesses scientifiques des experts du procureur, ainsi qu'un acte d'accusation à la fois indigent et clairement aligné sur les thèses de Kigali. Pour la première fois, la grande imposture de la justice internationale est révélée au grand jour.
 
 Bernard Lugan est expert auprès du TPIR. Il dirige le séminaire "Afrique" du CID (Collège Interarmées de défense). Il est conférencier à l'IHEM (Institut des hautes études de défense nationale), au CHEM (Centre des Hautes Etudes Militaires), etc. Docteur en histoire et docteur d'état ès lettres, il a été professeur à l'université nationale du Rwanda de 1973 à 1983. Il enseigne actuellement l'histoire de l'Afrique à l'université de Lyon. Il est l'auteur d'une vingtaine de livres, notamment: Rwanda: le génocide, l'Eglise et la démocratie, 2004; François Mitterrand, l'armée française et le Rwanda, 2005; Pour en finir avec la colonisation, 2006.

Paris , Rémi Périn, 2001

(INFO690) -Robin Philpot lance aujourd'hui Rwanda : crimes, mensonges et étouffement de la vérité, un second ouvrage qui démolit l'histoire officielle de la tragédie rwandaise.
L'auteur prétend dans ce livre que la version officielle camoufle les graves crimes et les mensonges de l'actuel régime de Kigali.
Parmi ces crimes, l'assassinat par le Front patriotique rwandais du prêtre québécois Guy Pinard.
M. Philpot affirme qu'il est loin d'être le seul à défendre cette thèse.
Faisant référence au dernier film sur le général Roméo Dallaire, Robin Philpot estime que l'histoire officielle n'est faite que pour le cinéma.

 Florence Hartmann, l’ancienne porte-parole de Carla del Ponte, ex-procureur du Tribunal pénal international pour le Rwanda, raconte comment sur pression des Etats-Unis les enquêtes spéciales visant les suspects de l’Armée patriotique rwandaise (APR) ont été enterrées, entachant à jamais le bilan du TPIR.
   Hartmann explique comment, en août 2003, Carla del Ponte a été écartée par le Conseil de sécurité des Nations unies du poste de procureur pour le Tribunal pénal international pour le Rwanda, ne conservant ses prérogatives que sur son pendant yougoslave.
  Quinze mois avant la fermeture décidée du TPIR, Paix et châtiment sème le doute sur la volonté du TPIR d'ouvrir ce dossier.
Editions Flammarion, septembre 07