GRANDS-LACS
CONFIDENTIEL
Fondé le 13 janvier, 1999
Année 2006, Numéro 6
Édition du 27 mars 2006
COMMUNIQUÉ
DE PRESSE
PAUL KAGAME, << LE PLUS GRAND CRIMINEL VIVANT>>
VISITERA LE CANADA.
Toronto, Canada, le 26 mars 2006 (GLAC) – Le gouvernement du Canada dirigé
par le Premier Ministre conservateur Stephen Harper, en association avec
plusieurs multinationales basées au Canada, a invité l’Hitler Africain, le
dictateur Paul Kagame, pour une visite au Canada les 25 et 26 avril 2006,
selon des sources très fiables qui ont informé l’agence de Presse Grands
Lacs Confidentiel.
Paul Kagame traîne avec lui le sang de millions de morts. Selon un diplomate
qui s’est confié à Grands Lacs Confidentiel, « Kagame est
incontestablement le plus grand criminel africain de tous les temps ».
Ce geste du gouvernement canadien d’inviter un tel personnage affecte
grandement le respect que le monde entier a pour le Canada en matière des
droits humains et des valeurs démocratiques.
« Le Canada a souvent joué une politique étrangère d’hypocrisie, un vrai
pharisien se passant pour un prophète de lumière» a précisé notre source.
Dès 1990, certaines puissances occidentales dont les États-Unis (sous l’Administration
Clinton) et les gouvernements britannique et belge, placent Paul Kagame à la
tête d’une guerre visant à « reconfigurer le cœur du continent africain
». C’est avec cet objectif précis que Paul Kagame et Yoweri Museveni ont
accepté de commander la « plus sombre page de l’histoire d’Afrique des
50 dernières années » précise le diplomate.
Paul Kagame est le principal déclencheur du génocide rwandais d’avril
1994. Avec Yoweri Museveni de l’Ouganda, il est aussi l’architecte
principal de la guerre d’occupation, de dépeuplement et d’exploitation de
la République Démocratique du Congo (RDC) qui a déjà fait plus de 5
millions des morts depuis 1998. Ce sont eux aussi les ingénieurs de
l’assassinat de Melchior Ndadaye le 21 octobre 1993, le premier président démocratiquement
élu du Burundi indépendant.
Pourquoi les multinationales canadiennes s’intéressent-elles au criminel
Paul Kagame qui gouverne le Rwanda, un des pays les plus pauvres du monde, qui
n’a aucune ressource minière à leur offrir?
Les multinationales avec leurs lobbyistes canadiens jouent à deux niveaux :
1.Ils financent une conférence qui porte exclusivement sur la République Démocratique
du Congo, intitulée : « Gouvernance et secteur minier : le défi congolais
» qui aura lieu à Montréal du 30 au 31 mars 2006. En cliquant sur l’hyperlien
ci-dessous, vous verrez le programme complet:
http://www.unites.uqam.ca/grama/pdf/Colloque_RDCongo_programme.pdf
2.Le deuxième niveau des actions de ces
lobbyistes est la mise sur pied d’une autre conférence, sous le thème
trompeur « Éducation et Développement économique en Afrique ».
Celle-ci prétend utiliser les analyses que les spécialistes auront faites
lors de la première conférence pour mettre en action des plans pour
l’avenir du Congo. Alors qu’on pourrait s’attendre à voir un invité du
pays concerné, la République Démocratique du Congo, c’est bien Paul
Kagame qui intervient pour rencontrer les multinationales et signer des
alliances qui pourront être effectives dès 2006, pour les vingt prochaines
années à venir; révèlent nos sources bien intégrées dans le groupe des
organisateurs.
« La visite de Paul Kagame répond vraisemblablement à un besoin des
multinationales de re-financer l’option militaire pour continuer à piller
l’Afrique. C’est la RDC qui sera vendue à gage. Ce qui est déterminant
c’est au niveau où Kagame rencontrera l’exécutif des multinationales
canadiennes.
La politique canadienne pour soutenir ce criminel dans la continuité du dépeuplement
de la population africaine est simplement une honte », affirme notre source.
Plusieurs hommes d’affaires canadiens et américains,des personnalités
politiques de marque, des chefs de missions diplomatiques accréditées à
Ottawa, des représentants des multinationales canadiennes et américaines
seront infailliblement au rendez-vous des 25 et 26 avril pour écouter, en
qualité de « guest speaker » à Montréal, le plus grand criminel de guerre
vivant.
En invitant Paul Kagame le gouvernement de Stephen Harper :
1. Piétine les valeurs de la démocratie et des droits humains que beaucoup
des Canadiens veulent protéger.
2. S’implique ouvertement dans une nouvelle guerre de conquête et dans de
nouveaux massacres des populations en République Démocratique du
Congo.
Au niveau africain, cette rencontre de Paul Kagame avec les puissances
occidentales coïncide avec une situation inquiétante qui est en cours au
Burundi et en RDC et qui se manifeste de la façon
suivante :
* La visite de James Kabarebe chef de l’armée rwandaise au Burundi et
en Tanzanie.
* L’arrivée à Bujumbura de nombreux mercenaires qui tentent de
rejoindre la RDC. * L’intransigeance et les menaces des rwandais vivant
au Congo à l’endroit du gouvernement de Kinshasa pour obtenir un «
tutsiland » au bout du canon.
* La tentative de coup d’état qui a eu lieu au début mars à
Bujumbura et qui visait à renverser le deuxième régime démocratiquement élu
du Burundi. Donner un avis favorable pour le renversement du régime démocratique
au Burundi, c’est le prix que le Burundi devra payer une fois de plus pour
servir de corridor aux mercenaires de Kagame pour envahir la RDC. Le chaos à
Bujumbura sera une occasion propice pour cette nouvelle invasion.
* Les premières élections démocratiques prévues pour le mois de juin
2006 en RDC qui risquent de mettre fin au pillage des richesses du Congo.
Cela ne fait pas l’affaire des multinationales qui avaient financé la
guerre de « reconfiguration de l’Afrique centrale ».
Un spécialiste des questions stratégiques de l’Afrique des grands-lacs, de
son bureau à Toronto, précise que cette visite doit «
être annulée par tous les moyens possibles. C’est une question des
Congolais vivant au Canada en association avec d’autres africains, à
s’organiser et faire des pressions,
écrire aux représentants du gouvernement canadien pour faire annuler la
venue de ce criminel ». Pour maquiller cette visite déterminante pour
l’avenir de l’Afrique centrale, les lobbystes pro-kagame du Canada ont
fabriqué de toutes pièces cette fameuse conférence sur l’éducation en
Afrique. Mais les vraies intentions du gouvernement conservateur de Stephen
Harper sont de:
- Pérenniser l’accès entièrement libre des multinationales aux
immenses ressources minières de la RDC ainsi que le chaos et les abus sur les
populations qui l’accompagnent.
- Faire signer de nouveaux accords entre les multinationales canadiennes
et Kagame pour relancer la guerre et couper court aux élections prévues en
RDC en juin prochain.
- Montrer le soutien du gouvernement canadien à Paul Kagame pour qu’il
continue allègrement dans sa mission favorite d’endeuiller l’Afrique
centrale.
Si le gouvernement canadien avait des intentions honnêtes en vers la RDC,
cela apparaîtrait d’abord par le respect des élections démocratiques prévues
pour juin 2006, les premières depuis 1960. Le gouvernement canadien
attendrait l’élection du gouvernement élu démocratiquement pour initier
des liens entre le nouveau gouvernement et ses compagnies minières. Bien au
contraire, la rapidité de l’invitation de Kagame, entre l’élection de
Stephen Harper à la fin janvier 2006 et avant les élections congolaises de
juin, est une véritable insulte pour le peuple congolais qui se prépare avec
tant d’enthousiasme à ses élections.
Le gouvernement conservateur d’Ottawa, pour camoufler son appui envers le
criminel a choisi d’inviter Kagame à Montréal, loin de la capitale pour
donner l’impression qu’il s’agit simplement d’une visite d’affaires.
Mais là encore, quelles affaires pourraient être discutées entre le Rwanda
et les miniers canadiens, à part les affaires congolaises? Le gouvernement
libéral du Premier Ministre sortant Jean Chrétien avait refusé de recevoir
la visite de Kagame.
Parmi les multinationales qui avaient financé et qui soutiennent encore la
guerre de dépeuplement et de pillage des richesses en RDC, on peut citer les
compagnies canadiennes suivantes : Barrick Gold, American Mineral Fields (AMF),
Tenke Mining, Banro Resource, Consolidated Trillion, First Quantum Minerals,
International Panorama Resource, Melkior Resources, Samax Gold and Starpoint
Goldfields. Ces compagnies ont obtenu des concessions minières très
lucratives de cuivre, cobalt, or, platine, zinc et autres.
1. American Mineral Field (AMFI) : Au conseil de direction siègent
Georges Bush père et Brian Mulroney (ancien premier ministre conservateur du
Canada et maître à penser de Stephen Harper).
2. Banro : George Bush Senior et Brian Mulroney siégent au conseil de
direction.
3. Barrick Gold : Quel hasard, quelle coincidence de faire que l’un des
organisateurs clé de cette réunion, PLACER DOME, soit une filiale de Barrick
Gold!
Asad
Ismi dans un article intitulé « The Western Heart of Darkness » publié par
le ‘Canadian Centre for Policy Alternatives Monitor’ d’octobre 2001 nous
informe : « Barrick Gold and Banro hold mining properties in eastern Congo
under Rwandan/Ugandan control. Banro has 47 mining concessions in Sud Kivu and
Maniema provinces while Barrick got exploration and exploitation rights to
"a huge tract of land" (82,000 sq. km) in Orientale province. As
reported in "Le Monde Diplomatique," Barrick and Banro have been
accused of "funding military operations in exchange for lucrative
contracts." Banro is also included in the U.N. list of companies involved
in the illegal exploitation of the eastern Congo (see above). The company is
importing cassiterites (tin ores) from the rebel area into Canada. »
Dans
le même article des révélations attirent toute la curiosité du lecteur sur
l’attitude des gouvernements conservateurs anadiens dans la guerre au Congo.
On peut y remarquer le lien entre Joe Clark et Brian Mulroney, deux Premiers
Ministres canadiens du parti conservateur qui ont choisi de collaborer
favorablement avec le Rwanda en ce qui concerne les ressources naturelles du
Congo.
Dans
un autre article aussi révélateur que le premier,signé « Alternatives »,
une organisation basée à Montréal, les connections ntre Barrick Gold,
American Mineral Field, des grandes personnalités de la scène politique
internationales telles Georges Bush, Brian Mulroney,Andrew Young, George H.W.
Bush, Edward Neys (ancien ambassadeur américain au Canada et président de la
firme privé PR firm Burston-Marsteller),l’ancien sénateur américain
Howard Baker ; J. Trevor Eyton (un membre du Sénat canadien et Vernon Jordan
(l’un des avocats de Bill Clinton) y sont révélés dans la connexion avec
« la souffrance caché du Congo). Pour lire cet article,cliquez ici :http://www.alternatives.ca/article2396.html
L’invitation de Paul Kagame par le gouvernement
conservateur canadien dirigé par Stephen Harper, au moment où ce criminel
est accusé de partout à travers le monde d’être le déclencheur du génocide
rwandais est-il un hasard? Ou bien s’agit-il d’un élément récurrent
dans la politique du parti conservateur canadien? On peut donc comprendre sans
se tromper le fait que Louise Arbour, alors procureur général du Tribunal pénal
international pour le Rwanda (TPR), ait reçu en 1997 des documents
incriminant Paul Kagame comme déclencheur du génocide et ait décidé de les
faire disparaître. Cette action cadre parfaitement avec cette culture
pharisienne de la politique canadienne en Afrique. Le National Post, journal
canadien, dans l’édition du 1er mars 2000 expose cette conspiration
mafieuse contre la justice par ceux-la même qui se disent représenter la
justice:
«Faisant apparaître sous un nouveau jour l'événement
qui a déclenché le génocide d'au moins 500 000 personnes au Rwanda, trois
informateurs tutsis ont révélé aux Nations unies qu'ils avaient appartenu
à l'escadron d'élite ayant assassiné le président hutu en 1994. [Ils] ont
dit à des enquêteurs de l'ONU, en 1997, que l'assassinat du président Juvénal
Habyarimana avait été mis en œuvre "avec l'aide d'un gouvernement étranger"
sous le haut commandement de Paul Kagamé, aujourd'hui vice-président du
Rwanda. (...)
Mais quand cette information a été transmise à Louise Arbour, alors
procureur du Tribunal pénal international de l'ONU [pour le Rwanda, TPR],
elle a mis fin à l'enquête, affirme un rapport [des Nations unies]. (...)
"Leurs informations et requêtes [pour des garanties de sécurité] ont
été transmises au juge Arbour", dit le rapport, daté du 1er août
1997. Quoique d'abord partante, elle a plus tard décidé que cette affaire ne
relevait pas du mandat du TPIR et ne devrait plus faire l'objet d'une enquête.»
Rappelons
aux lecteurs de Grands-Lacs Confidentiel,quelques uns des hauts faits de
guerre de Paul Kagame.
* En République démocratique du Congo: Dans un article publié par l’Ong
« Alternatives » daté du 17 mars 2006, le nombre de morts de la guerre que
la Mafia internationale impose au peuple congolais s’élève maintenant à
plus de dix millions des morts ( http://www.alternatives.ca/article2396.html).
Parmi ceux-ci compte les massacres de Kasika (où des femmes ont été entérrées
vivantes), Makobola, Kahungwe, Kisangani etc. Réaction de la justice
internationale : nulle.
* Avec l’aide du gouvernement Américain sous l’administration
Clinton, Paul Kagame a été placé à la tête du Front patriotique
rwandais par ses maîtres de
Washington et Londres pour une double-mission : renverser le gouvernement
rwandais de Juvenal Habyarimana et redéfinir la carte de
l’Afrique centrale.
* Dans le nord du Rwanda (Byumba, Kagitumba,et autres villages), d’ou est
partie l’attaque, de nombreux civils hutus sont froidement tués et leurs
corps jetés dans des fosses communes. Plusieurs organisations non
gouvernementales très fiables en font foi.
* Pour préparer son ratissage du cœur de l’Afrique, Paul Kagame prépare
avec l’aide des extrémistes tutsis, le renversement du premier gouvernement
burundais démocratiquement élu. Melchior Ndadaye est sauvagement assassiné
le 21 octobre 1993, ce crime plonge le Burundi dans une guerre civile et
qui continue jusqu’à présent.
* Paul Kagame est maintenant accusé officiellement par son propre garde
du corps, Abdul Ruzibiza, d’être le déclencheur du génocide rwandais. Ce
coup a été planifié à Bobo Dialousso (Burkina Fasso) par Kagame lui-même.
Quelques mois plus tard, l’avion qui ramenait le Président rwandais Juvenal
Habyarimana, son homologue Burundais Cyprien Ntaryamira et plusieurs autres
personnalités politiques est abattu alors qu’il s’apprêtait à atterrir
à Kigali. Abdul RUZIBIZA affirme qu’il était présent sur le lieu d’où
le missile a été tiré pour atteindre l’avion du président Habyarimana.
M.Ruzibiza a terminé son témoignage au Tribunal pénale internationale pour
le Rwanda (TPIR) à Arusha, au cours de la première quinzaine du mois de mars
2006.
* Contrairement aux mensonges forgés de toute pièce voulant que cet
attentat soit l’œuvre des extrémistes hutus, des accusations dignes de foi
pleuvent et pèsent lourdement sur Paul Kagame dans ses crimes au Rwanda, au
Burundi et en RDC. L’attitude du Canada d’accueillir un tel criminel plein
du sang de la tête aux pieds n’est-elle pas révélatrice?
* Le monde entier se souvient encore des massacres des milliers des réfugiés
rwandais en RDC dans la région de Tingi-Tingi. Plus de 340 000 ames y ont péri
sous les bottes de Kagame ( Stephen Smith du journal Libération :http://ospiti.peacelink.it/bukavu/znews024.html
).
QUE FAIRE CONTRE LA VISITE DE KAGAME AU CANADA ?
Grands-Lacs Confidentiel, lance un appel à
toutes les associations africaines basées en Occident et plus particulièrement
au Canada et aux États-Unis, de s’organiser et de se mobiliser contre
l’arrivée de l’Hitler africain à Montréal, au Canada. Des actions concrètes
peuvent inclure entre autres :
- Écrire sans tarder une lettre de protestations en l’adressant directement
au Premier Ministre du Canada, Son Excellence Stephen Harper et au Ministre
des Affaires étrangères.
- Parallèlement, écrire aussi aux députés des vos circonscriptions
respectives.
- Adresser spécialement une lettre au Ministre de la Citoyenneté et
de l’Immigration, l’Honorable Monte Solberg; lui demandant au nom du
respect des droits humains, de ne pas délivrer un visa d’entrée au Canada
au criminel Paul Kagame. C’est le Ministre de la
Citoyenneté et de l’Immigration qui détient le dernier mot sur le visa qui
sera délivré. La lettre doit lui parvenir 3 semaines avant son arrivée.
- Contacter d’autres africains et amis de l’Afrique pour organiser
des manifestations prévues à Ottawa et à Montréal.
- Se joindre aux groupes qui ont décidé de procéder juridiquement à
bloquer l’arrivée du criminel Kagame au Canada.
- Ne pas oublier d’annexer des photos des crimes commis en RDC par
Kagame et son équipe.
Grands-Lacs Confidentiel appelle toutes les associations des Congolais,
Burundais, Rwandais, Ougandais, ainsi que les amis de l’Afrique, de soutenir
par des contributions financières l’initiative en cours pour tenter
d’obtenir une injonction contre Kagame par la voie juridique.
L’AGENDA DE LA VISITE DE PAUL KAGAME AU CANADA
* Pour obtenir le programme de la visite de Kagame au Canada (en format
html) cliquez ici :
http://www.ccafrica.ca/events/ccaf/education/day1_e.htm
* Obtenir le programme en format pdf cliquez
ici :
http://www.ccafrica.ca/events/ccaf/education/Education_Conference.pdf
*Pour comprendre les relations entre ceux qui
organisent l’évènement et Barrick Gold, une des multinationales
canadiennes présente pendant la guerre en RDC, cliquez ici :
http://www.placerdome.com/Home.htm
En acceptant d’octroyer un visa d’entrée au
Canada au « plus grand criminel vivant », le gouvernement canadien
annonce son choix : les minerais congolais à tout prix, c'est-à-dire au prix
de l’élimination totale de la population congolaise dans toutes les zones
exploitables. En octroyant le visa d’entrée au Canada à Paul Kagame,
le gouvernement canadien aura confirmé sa prostitution avec l’« Hitler
africain »,en l’assurant de la continuité de la guerre de pillage des
ressources naturelles de la République Démocratique du Congo (RDC) afin de
le rendre ingouvernable et le démembrer.
Cette
alliance du Canada avec le criminel Kagame démontre ce que Asad Ismi disait
<< Western Heart of Darkness >> : «The destruction of the Congo
says much more about the West than it does about the Central African country.
It reveals most clearly that the West is largely a criminal enterprise, the
prosperity of which is based on the genocide of Third World people and the
theft of their resources.»
Traduction:
« La destruction du Congo en dit beaucoup plus sur l’Occident que l’Afrique
centrale. Elle expose très clairement que l’Occident est en grande partie
une entreprise criminelle dont la prospérité est onstruite
sur le génocide des peuples du tiers monde et sur le vol de leurs ressources.»
Ainsi
fait à Toronto, le 26 mars 2006.
Esdras MASAN
Rédacteur en Chef, Grands-Lacs Confidentiel