T h e   "A g a c u la m a   A n a l y s i s   A g e n c y"   (A.A.A.)
informs all the 'Abamootsi za Kagome' about an inscription
that will be written soon on the walls of the RPF catacomb:
"What you are, in place to become, we'll never be...  never"

 

STATISTIQUES RWANDAISES DE BUDGET DE L'ETAT : PERSISTANCE DE PLUS DE 50 % DE DEPENDANCE DE L'AIDE EXTERIEURE.

 

Budget rwandais 2009-2012 : Apport propre versus Aide Extérieure

EXERCICE FISCAL

RECETTES PROPRES

APPORT EXTERIEUR

BUDGET TOTAL

2009-2010

505 millions € = %

483.8 millions € = %

988.9 millions €

2010-2011

579.4 millions € = 50%

 

579.4 millions € = 50% 


 

[selon Kagame]

1158.8 millions €


 

[Soit 984 milliards FRw selon ORINFOR 20110505]

2011-2012

+ 422.4 millions € d’impôts réels

+ 29.5 millions € de privatisation

TOTAL = 451.9 millions € propres

 

[soit 590 millions € escomptés]

865 millions € = 65.7%

1316.9 millions €

2012-2013

+760 millions € (Recettes gonflées = 50% du budget)

+8.2 millions € (Agaciro = 0.54%)

 

TOTAL 768.2 millions €

 

751.8 millions € (49.46%)

 

Dont 177 millions € (11.6%) de manque à gagner (subsides supprimés)

1520 millions € (nombre gonflé pour des raisons de propagande)


 

[Soit 1368.8 millions € selon ORINFOR 20110505]

 Le commissaire général de l’office Rwandais des recettes a fait savoir que durant l’année fiscale 2010-2011, les Recettes Nationales ont contribué à 50% du budget national, et l’office Rwandais des recettes a fait une moisson de 491 milliards de francs Rwandais et dépassant l’objectif de 458 milliards. Pour l’année 2011-2012, l’office Rwandais des recettes s’est fixée comme mission de faire entrer dans la caisse de l’état une somme de plus de 500 milliards de Francs Rwandais.

Le Président de la République du Rwanda M. Paul Kagame a rappelé que le Rwanda dépend à 50% de l’apport extérieur, soit par les aides multilatérales ou bilatérales, soit par des prêts auprès des bailleurs internationaux. Et, il a demandé aux citoyens Rwandais d’être autosuffisants à temps. « L’aide que nous percevons provient des taxes payées par les citoyens des pays donateurs. Or, ces pays ont leurs propres problèmes ce qui fait penser qu’un jour l’aide peut être stoppée. Il faut travailler pour combler ce gap éventuel, » a affirmé le président Paul Kagame.