DES ENTRAINEMENTS MILITAIRES CONTRE ROBERT MUGABE A RUSUMO
 (Rwanda), le 28 septembre 2007 (GLAC) 
 
– La mobilisation contre le régime du président Robert Mugabe du Zimbabwe continue à gagner
 du terrain auprès des personnalités zimbabwéennes importantes alors que le Rwanda 
coordonne les entraînements des mercenaires qui se préparent à lancer la guerre dans ce 
pays de l’Afrique australe.> Au cours de la deuxième semaine du mois de septembre 2007,
huit espions (quatre Rwandais, deux Ougandais et deux Malawites) ont espionné le Sud-Est
du pays pour prendre des renseignements sur le terrain et étudier les faisabilités afin de 
 déterminer la région propice au lancement de la guerre. Ces espions
 qui
 étaient accueillis par des traîtres zimbabwéens ont parcouru Bulawayo,
 Matobo, Shurugwi, Zvishavane et Masvingo avant de retourner sains et
 saufs au Rwanda.> Selon les sources de Grands-Lacs Confidentiel en
 Tanzanie, au moment où nous mettons sous presse ce communiqué, d’autres
 espions sont encore au Malawi en  train d’étudier comment entrer au Zimbabwe
 où ils> comptent mener des missions de renseignement dans la partie
 nord du Zimbabwe.> A l’allure où vont les événements, l’étau semble se
 resserrer sur Robert Mugabe l’homme que l’un des participants
 britanniques aux négociations de Lancaster House a qualifié de très intelligent,
 rusé et de stratège de haut niveau. Le plan actuel vise à tenter
 d’éliminer physiquement le président Mugabe. La guerre serait lancée si cette>
 option échoue.> Les sources de Grands-Lacs dans la région de Rusumo
 précisent que des caches d’armes sont déjà mises en places dans certaines
 régions du Zimbabwe, en guise de préparatifs de la guerre à venir.> Si
 tout se passe comme prévu, la base arrière pour le front du Nord-Ouest
 sera située en Zambie alors que la base arrière pour le front du
 Nord-Est sera située au Mozambique. Cette attaque serait principalement
 menée par des mercenaires rwandais et ougandais. L’attaque de la partie sud
 du Zimbabwe devrait être menée par le reste des mercenaires
 (zimbabwéens, malawites et aussi des Zambiens) à partir du Botswana.> Au début
 septembre, le président Rwandais Paul Kagame aurait visité le Malawi.
 Pour couvrir toute curiosité de la part du Zimbabwe, les prétextes
 officiels annoncés par la présidence du Malawi ont fait savoir que la visite
 de Paul Kagame dans ce pays visait à inaugurer une>
 route qui porterait
 son nom.> En effet, Paul Kagame a officiellement inauguré une autoroute
 de 3.6 kilomètres dans la région de Lilongwe. Cette route qui
 s’appelait Chemin Chilambula, a été nommée Chemin Paul Kagame.> Cette
 inauguration n’était que de la poudre aux yeux du public. La vraie raison du
 voyage de Paul
 Kagame était d’aller discuter avec le président du Malawi,
 le Docteur Bingu Wa Mutharika, les faisabilités, les possibilités et
 les options à envisager afin de lancer la guerre qui doit plonger le
 Zimbabwe dans un bain de sang. Comme en Irak, où l’excuse était de faire
 partir Saddam Hussein et en> République démocratique du Congo, faire
 partir Mobutu; ces deux pays sont descendus en enfer sous prétexte de
 croire que leur salut respectif viendrait de l’Occident.> Les sources de
 Grands-Lacs Confidentiel précisent que les pays impliqués dans les
 préparatifs de cette guerre sont l’Angleterre, le Portugal, les États-unis, le
 Mozambique, le Malawi, le Botswana, l’Ouganda, la Zambie et le
 Rwanda.> Le gouvernement américain aurait récemment envoyé au Rwanda, un
 émissaire spécial chargé du « Zim-File », le dossier de la> guerre au
 Zimbabwe. Ce dernier aurait visité la zone d’entraînement située dans la
 région de Rusumo, à la frontière entre le Rwanda et la Tanzanie.> Selon nos
 sources fiables dans la capitale du Rwanda, l’administration
 Bush
 tient à en finir avec Robert Mugabe avant la fin du mandat de George Bush à
 la maison blanche en 2008. Cette façon de faire américaine semble une
 tradition de finir les mandats à la Maison Blanche. La mort de
 Laurent-Kabila n’a-t-il pas correspondu à la fin du mandat de Bill Clinton? Le
 17 janvier 1961, alors qu’on
 tuait le leader de l’indépendance du Congo
 Patrice Emery Lumumba, le même jour exactement, le président américain
 Dwight Einsenhower prononçait son fameux discours d’adieu à la nation
 américaine portant sur le « complexe militaro-industriel », voir
 l’adresse :> https://www. afa.org/magazine /oct2004/ 1004keeper. asp>
 Au
 Zimbabwe, des personnalités importantes rejoignent lentement mais sûrement
 l’opposition qui ne ménage aucun effort pour arriver à ses fins. Parmi les
 personnalités importantes qui se sont ralliées aux ennemis du Zimbabwe
 on retrouve présentement : Quatre colonels, deux gouverneurs, un
 général, un ancien ministre, deux
 ministres du gouvernement zimbabwéen
 actuel, deux évêques, six prêtres et quatre parlementaires.> Selon un
 diplomate basé à Kigali, la décision de faire partir Robert Mugabe n’est pas
 due au fait qu’il est resté longtemps au pouvoir ou qu’il est un
 dictateur. « Mugabe n’est pas le seul dictateur africain s’il faut l’appeler
 ainsi. Plusieurs dictateurs mondiaux sillonnent les grandes> puissances,
 mangent à la Maison blanche, au 10 Downing Street [résidence des
 premiers ministres britanniques] , à Paris, à Berlin etc. »> Le diplomate
 croit qu’à l’origine de la haine contre le président Robert Mugabe par les
 puissances occidentales, se trouvent « trois péchés mortels » qui>
 sont:> 1. L’expropriation des colonisateurs blancs des terres qu’ils
 avaient ravies de force aux autochtones zimbabwéens. Ce « péché » irrite les
 puissances impérialistes et en particulier l’Angleterre et les
 États-Unis qui le jugent inacceptable et qui reprochent à Mugabe de les avoir
 insultés.> 1. L’intervention de l’armée zimbabwéenne en République
 démocratique du Congo (RDC) pour aider Laurent-Desiré Kabila à bloquer
 l’invasion du Congo par les troupes de l’armée patriotique rwandaise. Ces
 derniers avaient un agenda de morceler le Congo pour l’ouvrir aux
 pillages illimités des multinationales occidentales. Le fait que la mission
 initiale prévue pour la RDC a échoué est, aux yeux des
 conglomérats
 miniers et de Paul Kagame lui-même, un acte impardonnable et imputable à
 Robert Mugabe. Le président rwandais espère donc> régler ses comptes avec
 Robert Mugabe grâce à l’appui occidental dans le recrutement et
 l’entraînement des mercenaires à Rusumo.> 1. Mugabe est un leader qui ne se
 soumet pas aux
 pressions impérialistes. Il défend sa position, celle de
 la mise en valeur de l’homme noir. Loin d’être un élève docile, il est
 très capable de dire non devant n’importe qui et n’hésite pas à le>
 faire lorsque c’est nécessaire.> Doté d’une des meilleures armées
 africaines et d’un service de renseignement de haut niveau, il s’est avéré
 impossible de faire partir Robert Mugabe. Pour créer la haine contre lui il
 fallait donc imposer au Zimbabwe des sanctions économiques. Cela
 semble efficace puisque la population a été plongée dans l’indigence et
 qu’elle se retourne contre Robert Mugabe. C’est très difficile pour les
 Zimbabwéens de comprendre le jeu de l’occident contre eux, alors qu’ils
 sont en train de lutter contre la pauvreté et le chomage.> Le Zimbabwe,
 anciennement la Rhodésie du Sud, était de colonisation britannique. Sous
 la mobilisation et la résistance populaire dirigées par le président
 actuel Robert Mugabe, le Zimbabwe obtint son indépendance le 17 avril
 1980.> = 30 => Esdras MASAN> Rédacteur en Chef> Grands-Lacs
 Confidentiel>
 E-mail: glac_editor@ yahoo.com> Nous présentons ci-dessous notre
 article du 21 juillet publié dans GLAC 17 2007 au sujet des mêmes
 révélations.> 2.> RWANDA :> PAUL KAGAME RECRUTE POUR CHASSER> ROBERT MUGABE DU

 ZIMBABWE> Kigali, Rwanda, le 21 juillet 2007 (GLAC) – Un groupe de deux
 mille recrues zimbabwéennes issues de l’opposition est en formation au
 Rwanda pour lancer la guerre visant à mettre fin au> régime de Robert
 Mugabe, l’actuel président et leader de l’indépendance du Zimbabwe depuis
 1980.> Ce groupe composé majoritairement de jeunes zimbabwéens compte
 aussi quelques centaines de jeunes originaires du Malawi voisin. Les
 entrainements se déroulent quotidiennement dans une région située à la
 frontière entre le Rwanda et la Tanzanie, sous le commandement d’officiers
 rwandais et ougandais supervisés par les instructeurs américains et
 britanniques. Au cours de leur formation, ces jeunes qui jurent par la
 tête de Robert Mugabe recevront aussi des instructeurs qui viendront des
 bases américaines du Kenya et de la base américaine de Djibouti du Camp
 Lemonier, plus particulièrement les instructeurs de la 6th Provisional
 Security Company (PSC).> Les officiers qui encadrent ces entraînements
 envoient des messagers à l’Est du Congo pour recruter clandestinement
 d’autres jeunes qui après la formation iront aider les zimbabwéens à
 chasser Mugabe du pouvoir. Ces congolais devraient ensuite revenir au
 Congo pour renverser et prendre le controle du pouvoir.> Paul Kagame ne
 ménage aucun effort> pour élargir le réseau qui le soutiendra dans
 la
 lutte qu’il mène pour prendre contrôle du Congo. Les recruteurs promettent
 de payer un salaire de quatre cents dollars par semaine et cela
 pendant toute la période de formation.> PRESS RELEASE> For immediate release>
 RWANDA :> MILITARY TRAININGS AGAINST ROBERT MUGABE> Rusumo
 (Rwanda),
 September 28th 2007 (GLAC) – The mobilization against the regime of
 Robert Mugabe, President of Zimbabwe, keeps gaining ground among important
 personalities of Zimbabwe while Rwanda coordinates the training of the
 mercenaries who are getting ready to launch the war in that
 country.>
 During the second week of September 2007, eight spies (four Rwandese,
 two Ugandans and two Malawians) lead a reconnaissance mission to the
 South-East region of Zimbabwe to take information and study the feasibility
 in order to identify the proper region to launch the war. Those
 spies
 who were met by Zimbabwean traitors, covered Bulawayo , Matobo,
 Shurugwi, Zvishavane and Masvingo before returning safely to Rwanda .>
 According to the sources of Grands-Lacs Confidentiel in Tanzania, as we send
 this Press Release, other spies are still in Malawi studying how
 to
 enter Zimbabwe where they plan to conduct some information missions in the
 Northern region of the Country.> At the pace of those events, Robert
 Mugabe’s survival seems to be tightening. Robert Mugabe was described by
 one British participant to the negotiations of the Lancaster House
 as
 being very clever, cunning, and a high level strategist. The initial
 plan aims at trying to eliminate President Mugabe physically. The war
 would be launched if this option fails.> The sources of Grands-Lacs
 Confidentiel in the region of Rusumo specify that the weapons’ hiding
 places
 are ready in some regions of Zimbabwe , as preparation for the coming
 war.> If everything goes as planned, the supply base for the North West
 front will be situated in Zambia while the supply base for the North
 East front will be located in Mozambique . This attack of
 Northern
 Zimbabwe will be carried mostly by Rwandese and Ugandan mercenaries. The
 attack of the Southern Region will be done by the rest of the mercenaries
 (Zimbabweans, Malawians, some Zambians as well) from Botswana .> Early in
 September, the Rwandan president Paul Kagame visited Malawi . To
 cover
 Zimbabwean curiosity about the visit, the Presidency of Malawi claimed
 that Paul Kagame came to Malawi to inaugurate a road> that was named
 after him.> Paul Kagame officially inaugurated a 3.6 kilometer long
 highway in the region of Lilongwe . The road that was named Chilambula
 has
 been renamed Paul Kagame Road . The inauguration was just powder in the
 eyes of the public. The true reason for Paul Kagame’s trip to Malawi
 was to discuss with the president of Malawi , Doctor Bingu Wa Mutharika,
 feasibilities, possibilities and the options to consider in order
 to
 launch a successful war that> must drown Zimbabwe in a blood bath. As
 for Iraq , where the excuse for the war was to overthrow Saddam Hussein,
 and for the Democratic Republic of the Congo , where it was to
 overthrow Mobutu, those two countries went to hell for believing that
 their
 salvation would come from Western Countries.> The sources of Grands-Lacs
 Confidentiel specify that the countries implicated in the preparation of
 the war against Zimbabwe are: England , Portugal , the United States ,
 Mozambique , Malawi , Botswana , Uganda , Zambia and Rwanda
 .>
 Grands-Lacs Confidentiel also learnt that the United States government sent to
 Rwanda a special emissary in charge of what it now coded as
 “Zim-File”, the file on the war in Zimbabwe . The American emissary might have
 visited the training camp located in Rusumo at the border between
 Rwanda
 and Tanzania .> According to the reliable sources of Grands-Lacs
 Confidentiel in Rwanda ’s capital city, the Bush administration wants to
 finish up with Robert Mugabe before the end of George Bush’s mandate at the
 White House in 2008. There seems to be an American tradition to end
 up
 mandates at the White House. Didn’t the assassination of
 Laurent-Désiré Kabila coincide with the last days of Bill Clinton’s presidential
 mandate? Let’s remember that on January 17th 1961 when the leader of Congo
 ’s independence, Patrice Emery Lumumba was assassinated, on that
 same
 day, the American President Dwight Einsenhower was pronouncing his
 famous good bye speech to the American Nation about the «
 Military-Industrial Complex », see the link:>
 (https://www. afa.org/magazine /oct2004/ 1004keeper. asp).> In Zimbabwe ,
 important personalities are joining little by little the opposition that
 spares no> effort to meet its objectives. Among the important
 personalities who have now joined the enemies of Zimbabwe , there
 are four
 Colonels, two Governors, a General, a former Minister in the Mugabe
 Government, two Ministers of the present Zimbabwean government, two Bishops,
 six Priests and four Members of Parliament.> According to a diplomatic
 source in Kigali , the decision to overthrow Robert Mugabe is not due
 to
 the fact that he remained in power for a long time or that he is a
 dictator. « Mugabe is not the only African dictator, should we call him so.
 Several dictators in the World eat at the White> House, at 10 Downing
 Street in London , in Paris , Berlin etc .»> The diplomat believes
 that
 the origin of the Western Powers’ hatred against President Robert
 Mugabe is found in what he termed as “Robert Mugabe’s three mortal sins”:>
 1. The expropriation of the white colonizers from the land they stole
 by force from Zimbabwean natives. This sin annoys imperialist
 powers,
 especially England and the United States who find it unacceptable and
 blame Mugabe for insulting them.> 1. The intervention of the Zimbabwean
 army in the Democratic Republic of the Congo (DRC) in order to help
 Laurent-Désiré Kabila to stop the invasion of the Congo by the
 Rwandese
 Patriotic Army . Their agenda was to divide> the Congo and open it to the
 unlimited looting of the Western multinational companies. The failure of
 the initial plan for the DRC is, according to the mining conglomerates
 and Paul Kagame himself, an unforgivable action attributed to
 Robert
 Mugabe. The President of Rwanda is hoping to settle accounts with Robert
 Mugabe, thanks to the western support in the recruiting and training
 of mercenaries in Rusumo.> 1. Mugabe is an indomitable leader. He is one
 of the> staunch defenders of the Black man’s mental emancipation.
 Far
 from being an “obedient pupil of the Western Powers”, he is able to say
 no in front of anybody, and does not hesitate to do so when
 necessary.> Having one of the best African armies and a high level of
 intelligence service it has been impossible to get rid of Robert Mugabe. In
 order
 to galvanize the Zimbabweans’ hatred against their leader, Western
 powers imposed economic sanctions on Zimbabwe . This seems effective since
 this situation plunged the population into poverty and makes it turn
 against President Robert Mugabe. It is very difficult for> Zimbabweans
 to
 realize the Western Game against them as they are struggling with
 poverty and unemployment.> Zimbabwe, a British colony was formerly known as
 Southern Rhodesia . Under the mobilization and resistance of its
 people led by Robert Mugabe, Zimbabwe obtained its independence on
 April
 17th 1980.> = 30 => Esdras MASAN> Rédacteur en Chef> Grands-Lacs
 Confidentiel> E-mail: glac_editor@ yahoo.com> We present below our article dated
 21 July 2007, published in GLAC 17, about the same revelations.> 2.
 RWANDA :> PAUL KAGAME RECRUITS TO THROW> ROBERT MUGABE OUT OF ZIMBABWE>
 Kigali, Rwanda, July 21st 2007 (GLAC) – A group of two thousand
 Zimbabwean
 recruits from the opposition is being trained in Rwanda to prepare a
 war aiming at ending the regime of Robert Mugabe, President and leader
 of the independence of Zimbabwe since 1980.> This group consists in
 majority of young Zimbabweans and of a few hundreds of young men from
 neighbouring Malawi .
 Trainings take place daily in a region at the border
 between Rwanda and Tanzania , under the command of Rwandese and Ugandan
 officers supervised by American and British instructors. During their
 training, those youths who swear> by the head of Robert Mugabe will
 also have instructors coming from the
 American bases in Kenya and from the
 Camp Lemonier American base in Djibouti , in particular, instructors
 from the 6th Provisional Security Company (PSC).> Officers who supervise
 those trainings send messengers to the eastern Congo in order to
 secretly recruit other youths who will go and help, after
 their training, to
 throw out Robert Mugabe. Those Congolese would then come back to the
 Congo to make a coup and take the power.> Paul Kagame spares no effort
 to widen the network that will support him in his struggle to take
 control of the Congo . Recruiters promise to pay a salary of four
 hundred
 dollars per week during the whole training period.> GLAC.>
 ============ ========= ========> QUI EST GRANDS-LACS CONFIDENTIEL ?> GRANDS-LACS
 CONFIDENTIEL (GLAC) a été fondé le 13 janvier 1999 en signe de contestation
 du « rideau de silence » que la mafia impérialiste avait imposé à
 l’Afrique centrale ou des milliers d’humains étaient massacrés comme des
 mouches. Cette conspiration monstrueusement criminelle était très flagrante
 dans les grands médias planétaires. GLAC est né en tant que refus de
 l’inaction et du silence face aux génocides bénis par les maîtres de la
 mondialisation.> GLAC soutient l’émergence d’une presse mondiale
 qui
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