LE CRIMINEL DE GUERRE TUTSI RWANDAIS, PAUL KAGAME, VIENT D´ÉCHAPPER À UN
LYNCHAGE DE LA RÉSISTANCE CONGOLAISE DE LONDRES, DANS MATINÉE DE CE MARDI 02
NOVEMBRE 2009...
Face aux résistants/combattants congolais, Paul Kagame a dû sans le
moindre
sang-froid, prendre immédiatement la fuite. Qu´est-ce qui a dû se passer
réellement à la Bourse de Londres?
Selon nos sources de Londres, en Grande Bretagne, le criminel de guerre au
pouvoir à Kigali au Rwanda, en l´occurrence Paul Kagame, a dû effectuer
secrètement en ce week-end de Toussaint, un voyage dans la capitale
britannique, où, selon son programme, il devait entre autre, se rendre à
The
London Stock Exchange, c´est-a-dire à la Bourse de Londres; afin d´y
négocier avec ses responsables, les prix des matières premières
stratégiques
que sont notamment: le pétrole, le coltan, mais surtout, l´uranium.
Il importe cependant de faire remarquer à l´opinion que, le pays que
dirige
d´une main de fer et dans la terreur ce bonhomme depuis quinze ans, à
savoir
le Rwanda, ne regorge dans son sous-sol, ni aucun gramme, ni le moindre
baril desdites matières premières de base.
En effet, les résistants/combattants congolais de Grande Bretagne, en
particulier, ceux vivant dans la grande agglomération de Londres, toujours
bien renseignés sur les entrées et les sorties des Congolais ou des
Africains - ordinaires ou officiels - en terre britannique; prirent
connaissance en début de week-end de Toussaint, de la présence inopportune
du Boucher de Kigali, entendu Paul Kagame; dans ce qu´ils considèrent
désormais comme leur chasse-garde, où d´indésirables visiteurs officiels
ou
pas, ne peuvent fouler leurs pieds, au risque de se voir très sévèrement
sanctionnés. Paul kagame, ennemi publique numéro un des Congolais,
prévoyait
effectivement de débarquer à la Bourse de Londres dans les après-midi de
ce
mardi 2 novembre 2009 pour des pourparlers, mais sûrement alerté par ses
services de l´éventualité de l´embuscade que pourraient lui tendre les
résistants congolais à cette heure-là de la journée,
afin en découdre avec lui, a tenté de brouiller les cartes. Celui-ci
croyant plus malin, en voulant prendre les combattants au dépourvu, a dû
changé son programme pour la matinée sur le coup de 10 heures GMT, et
aussi
l´heure locale.
En effet, contre toute attente et à sa grande surprise, il découvrait que
c´était plutôt lui qui avait été pris au dépourvu en tombant à son propre
pièce. Étant donné que les résistants/combattan ts congolais étaient déjà
là
sur le théâtre de l´opération, et l´attendaient de pieds ferme, afin de
lui
infliger un lynchage bien mérité. Ainsi, lorsqu´il fit son apparition sur
le
lieu en sortant de sa voiture, trois vaillants résistants/combattants de
première heure se hâtèrent lui sauter dessus. Étonnant paradoxe: Paul
Kagame, qui s´est toujours semble-t-il pris pour un brave, oublia
cependant
son fameux titre de président de la République du Rwanda, en se sauvant.
C´est-à-dire qu´en bon Inkotanyi d´autrefois, il prit immédiatement le
soin
d´user de ses réflexes d´ancien rebelle, en prenant sans autre forme de
procès la poudre d´escampette. Paul Kagame, né assurément sous une belle
étoile échappa
de justesse au lynchage et à l´humiliation lui réservés. Aussitôt après
cette fuite sans ne fus-ce qu´un minimum de sang-froid, la Police
britannique alertée, fit sa descente sur le lieu pour s´enquérir de la
situation et rétablir l´ordre, sans toutefois procéder à aucune
arrestation.
C´est ainsi donc que de là, les résistants/combattan ts prirent droit le
chemin du Home Office et du Foreign Office, respectivement Ministère
britannique de l´Intérieur et Ministère britannique des Affaires
étrangères,
mais aussi de l´Ambassade du Congo, où un mémorandum fut déposé près de
l´autorité britannique, lui notifiant que Paul Kagame, qui a du sang des
millions de Congolais et de Rwandais sur ses mains, n´est pas le bienvenu
en
Grande Bretagne, et que sa visite ne peut à leurs yeux constituer rien
d´autre qu´une pure provocation, qui ne pourrait que trouver son juste
retour du bâton. Il appartient donc à l´autorité compétente de prendre
désormais ses dispositions pour leur éviter de faire un malheur. Voici
pourquoi, Paul Kagame, humilié, et sans attendre plus longtemps, a dû
écourter sa visite en rebroussant précipitamment chemin sur la pointe des
pieds pour Kigali, dans la même soirée mardi.
Comment peut-on donc expliquer le fait que Paul Kagame soit
l´interlocuteur
désigné de la fameuse Haute finance internationale, alors que son pays le
Rwanda ne regorge aucun des minerais susmentionné s? Complicité avérée...
Ironie du sort oblige, car contrairement aux réalités géologiques et à
l´inexistence
dans le sous-sol rwandais de ces ressources minières, Paul Kagame semble malgré tout être, la personne la mieux désignée avec laquelle discuter de
ces genres de magouilles sans scrupules, pour une certaine Haute finance
internationale baignant dans un inqualifiable cynisme primaire; au service
de laquelle oeuvrent en toute impunité, une panoplie de véreux hommes
politiques occidentaux tels que: le Belge Louis Michel et Tony Blair, pour
ne citer que ces deux-là. Quant au premier cité, ex-commissaire européen à
l´Aide humanitaire et au Développement, ou encore, ex-ministre belge des
Affaires étrangères. Et le second lui, ex-Premier ministre britannique,
actuellement l´un des deux candidats en lisse à la présidence de la
Commission de l´Union européenne.
Au fait, ces deux Éminences grises européennes, sous de farfelues
couvertures, du type de son African Governance Initiative (AGI), -
véritable
offine à multiples desseins - s´agissant de Tony Blair, tiennent à bras
le
corps ce régime de terreur en qualité de soi-disant Conseiller spécial.
D´ailleurs, c´est le cas de le dire, selon une récente publication de
Financial Times, le célèbre le journal économique britannique, Vindrush
Ventures N0 3, cette fameuse boîte de partenariat trè s rentable mise sur
pieds par Tony Blair, financée par plusieurs donateurs de fonds, dont la
Fondation Bill et Melissa Gates, d´où proviendraient en partie les
financements nécessaires aux opération de soutien au Rwanda, au
Libéria, au
Sierra-Leone; serait caractérisée par une opacité qui cacherait peut-être
des malversations financières sur des juteux bénéfices réalisés et non
déclarés, qui prendraient des destinations inconnues.
Ceci dit, venons-en à la grande << question du jour qui bien la
peine
d´être posée en ces termes: d´où proviennent- ils donc ces virtuels
minerais
que ne possède pas le Rwanda, mais que grâce auxquels, Paul Kagame, se
fait
tout bonnement recevoir sur ce marché des matières premières pour des
soi-disant pourparlers? Faut-il ainsi être si naïf et ne pas être en
mesure
d´y répondre? La réponse en est claire comme l´eau de roche: le Congo
voisin. Car, victime du gangstérisme d´État du Gouvernement rwandais qui
pratique la razzia sur ses richesses minières, économiques et autres, le
Congo est en proie à de récurrentes guerres d´agression et de prédation
lui
imposées depuis treize ans par deux États-voyous de son environnement
régional que sont: le Rwanda et l´Ouganda. Eux-mêmes soutenus, financés à
leur tour par des puissances occidentales et la Haute finance
internationale. La sinistre visite avortée de Paul Kagame
à la Bourse de Londres nous en fournit une fois de plus une indéniable
et palpable preuve, en mettant à nu la complicité entre ce bonhomme et ses
hôtes londoniens..
Soutien sans faille au chef du régime génocido-militariste , et ce, en
dépit
de tous les odieux crimes de guerre et crimes contre l´humanité dans son
actif. Chez lui au Rwanda, et surtout au Congo voisin, où le macabre bilan
de ses criminels faits d´arme, selon des sources internationales dont les
Nations unies, avoisinerait déjà les six millions d´innocentes victimes en
treize de guerre injustement imposée à son peuple martyr. On extermine
sans
états d´âme des populations entières congolaises, pour s´abreuver au
mépris
de l´éthique de: leurs richesses du sol et du sous-sol. Le tout, se
produisant comme si l´Afrique ne comptait ou ne compte guère, d´autres
fils
dignes et immaculés à conseiller tels: l´ex-président ghanéen John Kouffor,
dont l´action et les efforts - pendant ses années de pouvoir - méritent
d´être saluer. Lesquels ont permis, soulignons-le, au Ghana de bien
amorcer
le virage pour son
développement économique, et de poser de vraies bases
pour l´instauration d´une démocratie participative à l´africaine et d´un
État de droit.
De toute évidence, dans le cadre de ce cauchemar infligé au Congo pour le
contrôle de ses diverses richesses minières, les masques continuent
décidément de tomber. Car l´on voit plus clairement, au-delà de ces
minables
dirigeants tutsis rwandais et ougandais sans foi ni loi, que l´on manipule
comme des vulgaires marionnettes pour semer mort et désolation chez leurs
voisins congolais, qui en sont les vrais commanditaires , et à qui
profitent réellement tous ces crimes. Justice divine étant, soyez-en sûrs,
vous serez tôt ou tard rattrapés par vos crimes, et l´Histoire vous jugera
tous le moment venu.
Que Dieu bénisse le Congo et garde son peuple!
Pépin Lulendo
Le 02 novembre 2009